Didier Porte
Didier Porte est né en janvier 1958, histoire de ne pas rater le retour de De Gaulle aux affaires. Il est père de quatre enfants, Perrine, 15 ans, Gaston, 13 ans, Virgile, né le 5 avril 2008, et Stella, née en septembre 2009.
Il a obtenu une maîtrise de Sciences Économiques à Paris-X.
Il est journaliste depuis 1984, et a collaboré à « La Dépêche du Midi », au « Matin de Paris » (journal disparu depuis), à « L'Étudiant », et à diverses radios, Canal 102 (basée à Évry), TSF 93, RMC Proche-Orient, RFM, Europe 2, pour leurs journaux et diverses chroniques de télévision. Rédacteur occasionnel dans plusieurs journaux dont le dernier fut « Siné-Hebdo , disparu aujourd'hui.
Pendant huit ans, il a été reporter-réalisateur à l'émission Culture-Pub sur M6. Il donnait une chronique régulière au magazine mensuel du même nom, avant sa disparition (celle du magazine, pas celle de Porte). Il a collaboré aux Lois de la Jungle puis à Éconoclaste sur La Cinquième,à Tutti frutti et à Comme au Cinéma sur France 2, à Parole d'Expert, à Héros vinaigrette, émission de Bernard Rapp, sur France 3, et à Field dans le poste, sur Paris Première.
Son oeuvre
Avec Anne Magnien, il a été co-auteur de l'émission La Nuit de la Connerie sur Canal Plus. Cette émission a été complétée par un livre, rédigé avec William Reymond, Le Grand Livre de la Connerie, chez Canal Plus Éditions (collaboration de Didier Thomas-Radux et Fabien Teillard).
Un recueil de ses chroniques sur France Inter, Sauvé des ondes, est sorti le 4 juin 2003 aux éditions de L'Archipel. Puis quatre autres, Porte flingue, Les pipoles à la Porte, Insupportable et Incorrigible. Voyez plutôt la page sur les livres .
Sur France Inter, il a été chroniqueur dans Zappinge (émission de Gilbert Denoyan), Zoom et Audimatraquage (émissions d'Isabelle Motrot), Rien à cirer et Les p'tits déj's (émissions de Laurent Ruquier).
Mais il fut viré de la station en 1997 pour « inhumanité » (sic).Puis, la direction de France Inter ayant changé, il y a été réengagé, fin 1999, pour donner ses chroniques dans Rien à voir (émission de Laurence Boccolini), et dans l'émission qui lui a succédé, Le fou du roi (de Stéphane Bern), où il resta dix ans, avant d'être de nouveau viré pour des raisons politiques. Il passe alors sur Internet, dans Arrêt sur images et dans Mediapart.
Il a assuré entre avril 1998 et juin 2006, la chronique de la télévision sur Ouï-FM, cinq fois par semaine, dans l'émission matinale présentée par Johann Roques.
Sur scène, comme auteur-interprète, il a donné quatre spectacles de one man show à partir de janvier 1998. Un cinquième spectacle, Didier Porte fait rire les masses, joué depuis juillet 2011 au Festival d'Avignon, sera régulièrement donné (façon de parler), tant à Paris qu'en province... pardon, dans les « régions ». Comme toujours, son contenu en seraconstamment remanié et mis à jour en fonction de l'actualité.
Comme rien n'est parfait, Didier Porte souffre d'une grave névrose : il est oenophile de type compulsif.
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