Véronique Grenier enseigne la philosophie au collégial, depuis 2009. Elle est l’autrice, aux Éditions de Ta Mère, des recueils de poésie Carnet de parc (2019) et Chenous (2017) et du récit Hiroshimoi (2016), paru aussi en Suisse chez Paulette éditrice, en novembre 2017. Elle a également collaboré à quelques collectifs (Sous la ceinture : unis pour vaincre la culture du viol, Québec Amérique; Libérer la colère, Remue-Ménage; Avec pas une cenne, Québec Amérique), aux revues Art Le Sabord, Les Écrits, XYZ. La revue de la nouvelle, Jet d’encre et Exit et à la pièce de théâtre Strindberg (printemps 2019, mise en scène de Luce Pelletier). Chroniqueuse – notamment à titre de « philosophe de circonstance » à l’émission Et si on se faisait du bien, ICI Radio-Canada, été 2018 –, blogueuse (Les p’tits pis moé), conférencière, elle a aussi été porte-parole de la campagne provinciale « Sans oui, c’est non! » pour contrer les violences à caractère sexuel (2015-2018). Il lui arrive de collaborer à la collection de chandails Les Beaux jours (« Linge mou. », « Papier bulle, please. » et « Sablonneuse ») avec Vanessa Duval. Elle a reçu le mérite estrien, en janvier 2018, a été lauréate du prix Jean-Claude-Simard 2017 de la société de philosophie du Québec et récipiendaire du prix « Coup de cœur » du Conseil de la culture de l’Estrie, en 2015.
Elle aime le kitsch et les citations et déteste les demandes à l’Univers.