Didier tronchet, né à Béthune en 1958, a commencé par le journalisme (Le Matin de Paris) avant de choisir la fiction, notamment la BD avec des personnages tout en dérision comme Raymond Calbuth ou Jean-Claude Tergal (qui lui ont valu 3 prix de l'humour au festival d'Angoulême) Ainsi que "Houppeland" qui le consacre dans l'humour noir ét la vision acerbe de la société.
Puis son champ d'action s'est élargi au café théâtre (le point virgule à Paris dans les années 2000) au cinéma (réalisateur d'un long métrage en 2002 "Le nouveau Jean-Claude") ou à la presse magazine (rédacteur en chef de l'Echo des savanes 2007-2008).
Après un long séjour en Amérique du sud, il choisit de revenir à la BD mais sous la forme de romans graphiques ("le fils du Yéti" chez Casterman) ou de BD reportages publiés dans la revue XXI ("Vertiges de Quito", chers Futuropolis ou "Robinsons père et fils" chez Delcourt).
Il mène parall
èlement une carrière littéraire avec la parution de huit livres (chez Flammarion, Plon, Albin Michel...) sur des sujets atypiques: le vélo urbain, le football comme thérapie, le journal d'un bébé...
"Le chanteur perdu" rassemble ses envies de parler de l'ailleurs et de récits au long cours.