Raymond Penblanc a revisité Les Trois Mousquetaires dans sa dixième année, plagié Chateaubriand dans sa quinzième, pillé Rimbaud dans sa seizième, avant de voler de ses propres ailes. En témoignent des poèmes chez Guy Chambelland et dans la revue Contrordre, trois romans aux Presses de la Renaissance, des nouvelles dans une vingtaine de revues. Après deux récits aux éditions Lunatique (collection 36e Deux Sous, 2014), Phénix est son quatrième roman.